Juste avant de partir en vacances, il a été trouvé dans un os d'une phalange des pieds de JP un staphylocoque doré, petite infection nosocomiale qui manquait encore au tableau particulièrement chargé qu'il remplit année après année. Au petit déjeuner qui consiste déjà en une brouette de médicaments divers et costauds se sont donc rajoutés deux antibiotiques agressifs. Plus de soleil, plus d'effort sous peine de brûler ou de se péter des tendons...
Nous sommes partis... et les nausées ont commencé... la fatigue... et après une journée tranquille à vélo il a été foudroyé par une infection pulmonaire qui l'a couché une bonne dizaine de jours...
Bien sûr ces vacances n'ont pas du tout été telles que je les avais imaginées, mais depuis 1991 j'adapte au jour le jour ma vie.
Et puis heureusement C. est venue plusieurs jours, nous avons fêté ses 32 ans (Eh oui !!) et toutes les deux nous avons pu faire des balades en vélo, bronzer sur le sable, bavarder, picoler, s'inventer de vraies vacances reposantes.
Tous les jours j'ai nagé dans une mer presque bonne, plages vides jusqu'après midi, j'ai lu, je me suis reposée, j'ai pesté contre cette putain de maladie qui nous pourrie la vie, j'ai béni le ciel que malgré tout la vie soit belle, j'ai savouré mes balades sur mon beau vélo bleu aux pneus blancs que je me suis offert en tout début du séjour.
Et je sais que ne me resterons bientôt, plus que les bons moments de ces trois semaines estivales...
Nous sommes partis... et les nausées ont commencé... la fatigue... et après une journée tranquille à vélo il a été foudroyé par une infection pulmonaire qui l'a couché une bonne dizaine de jours...
Bien sûr ces vacances n'ont pas du tout été telles que je les avais imaginées, mais depuis 1991 j'adapte au jour le jour ma vie.
Et puis heureusement C. est venue plusieurs jours, nous avons fêté ses 32 ans (Eh oui !!) et toutes les deux nous avons pu faire des balades en vélo, bronzer sur le sable, bavarder, picoler, s'inventer de vraies vacances reposantes.
Tous les jours j'ai nagé dans une mer presque bonne, plages vides jusqu'après midi, j'ai lu, je me suis reposée, j'ai pesté contre cette putain de maladie qui nous pourrie la vie, j'ai béni le ciel que malgré tout la vie soit belle, j'ai savouré mes balades sur mon beau vélo bleu aux pneus blancs que je me suis offert en tout début du séjour.
Et je sais que ne me resterons bientôt, plus que les bons moments de ces trois semaines estivales...
7 commentaires:
Punaise, la malchance vous suit, mes pauvres! Quelle galère! J'espère que JP va mieux et je suis contente que tu aies pu profiter malgré tout de ces vacances et de C. :)
Dr CaSo Bah on ne peut plus appeler cela de la malchance, JP est malade, très malade, il faut intégrer cela dans notre vie et ne pas se désoler à chaque manifestation de cette maladie ;) L'essentiel justement est de profiter de chaque instant où tout va à peu près bien ;)
Bon courage pour la reprise .
Tu as une bonne philosophie de vie, tu as raison.
Des bises amicales.
Anita
Oh Sylvie je fini ma troisième semaine et je suis en forme :)
Anita, comme j'ai regretté de ne pouvoir te voir :(
Je suis contente que tu aies pu profiter de ta fille et de la mer ! J'espère que les antibiotiques sont venus à bout de sieur Staphyl et que JP a pu être aussi philosophe devant ces "vacances" ? (Au moins cela aura fait le bonheur de Chamade...)
DDC v'est Chamade qui en a le plus profité c'est vrai :) des vacances de rêves au soleil, sous ses plantes, dans l'olivier... Les antibiotiques que JP a terminé ce week end, ont apparemment fait leur effet. Il a pu, pour la première fois depuis un an, prendre un bain. L'os du doigt de pied n'est plus à vif, c'est déjà ça. Maintenant il faut qu'il cicatrise, mais croisons les doigts !
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