Deux petits souvenirs...
Mes parents, invités au mariage de la fille d'amis, en avaient profité pour passer quelques jours en Bourgogne où se déroulait la cérémonie. Ils avaient trouvé une chambre d'hôtes calme, loin de l'agitation de ce très grand mariage. Le matin en leur servant le petit déjeuner, la maîtresse de maison les avait accueillis éplorée "Nous avons perdu notre ladidi !". Ma mère sentant confusément qu'une réaction était attendue, persuadée que la fameuse "ladidi" était la chienne de la maison dit "oh je suis désolée, elle était âgée ?" Regard interdit de la dame, Lady Di venait de s'écraser sous le pont de l'Alma.
Les enfants et moi étions seuls dans la maison familiale en Alsace où nous finissions nos vacances. Je me souviens exactement du moment où j'ai appris sa mort. Nous étions dans la salle de séjour, dehors le soleil était éclatant, à l'intérieur il faisait sombre et les taches de soleil donnait une douceur à la pièce, très estivale. J'allumais de temps en temps l'antique radio et captais avec difficulté les nouvelles lointaines du monde. La nouvelle éclata dans la douceur de cette matinée, cela semblait si "incroyable" que, me tournant vers ma petite fille, je la prenais à témoin de l'invraisemblance. Elle me regarda avec innocence "c'était qui maman?".
Mes parents, invités au mariage de la fille d'amis, en avaient profité pour passer quelques jours en Bourgogne où se déroulait la cérémonie. Ils avaient trouvé une chambre d'hôtes calme, loin de l'agitation de ce très grand mariage. Le matin en leur servant le petit déjeuner, la maîtresse de maison les avait accueillis éplorée "Nous avons perdu notre ladidi !". Ma mère sentant confusément qu'une réaction était attendue, persuadée que la fameuse "ladidi" était la chienne de la maison dit "oh je suis désolée, elle était âgée ?" Regard interdit de la dame, Lady Di venait de s'écraser sous le pont de l'Alma.
Les enfants et moi étions seuls dans la maison familiale en Alsace où nous finissions nos vacances. Je me souviens exactement du moment où j'ai appris sa mort. Nous étions dans la salle de séjour, dehors le soleil était éclatant, à l'intérieur il faisait sombre et les taches de soleil donnait une douceur à la pièce, très estivale. J'allumais de temps en temps l'antique radio et captais avec difficulté les nouvelles lointaines du monde. La nouvelle éclata dans la douceur de cette matinée, cela semblait si "incroyable" que, me tournant vers ma petite fille, je la prenais à témoin de l'invraisemblance. Elle me regarda avec innocence "c'était qui maman?".